protéger vos LD, je dis bien PROTEGER ! Rot & co

[jedi poodou]

L'idéal serait d'avoir l'avis d'un chimiste ou technicien qui a participé à la création des couches de protection lors des pressages des disques. Autrement dit quelqu'un qui a travaillé directement dans les usines de pressage (si quelqu'un de la société MPO nous lit, à votre bon cœur). Si une de ces personnes passait par hasard sur le forum, peut-être qu'on pourrait avoir une explication si oui ou non il y a une solution. Le rot touche malheureusement tous les disques, le laserdisc, le HD-DVD (j'en ai eu 2 récemment impossible à lire) ou le bluray, le DVD (peut-être un peu moins), et même le CD. Ca va devenir problématique dans les années à venir.

[retrogeek]

Ma remarque sur les produits magiques était d'ordre général et un rappel de bon sens applicable à d'autres situations.
Cette affaire m'intéresse, m'intrigue mais je reste sceptique...
S'il s'agit de pouvoir prolonger la vie de nos majestueuses galettes, je vais tendre une oreille, jeter un œil et, à minima, investir un bout de cerveau pour étudier la question.
Sans connaissance des formules chimiques, des procédés de polymérisation, difficile de savoir si le traitement aura l'effet désiré...
Mais ça reste plausible !
Je ne savais pas que le CD était touché aussi.
Il me semblait que le collage intercouche pour les DVD, HD-DVD, BRD double couche ou LD double face était coupable. Mais le CD est lui aussi collé sur une face imprimée.
Pas de problème sur la face transparente de lecture, mais le côté obscur de celle-ci contaminée par une résine frelatée, sur chaque type de disque, montre quand même un manque de contrôle qualité chez les industriels.
Le problème est maintenant connu, identifié, il devrait être plus sérieusement étudié pour être évité à l'avenir.

[jedi poodou]

C'est vrai que c'est un problème récurrent dont on entend parler depuis des années, mais apparemment, j'ai pas l'impression que ça inquiète les industriels plus que ça. La surproduction de masse engendre toujours des défauts. Les industriels ont les outils pour les corriger, mais en ont-ils l'envie ? La promesse qui avait été faite que les supports optiques tiendraient une centaine d'années était un beau vœu pieux.