Laserdisc Plaza

Il ne s'est pas trop cassé le "Richard Band" pour "composer" sa musique

Ce soir, j' ai éteins les lumières pour mater :
avec un James Woods en forme olympique, une Debby Harry bien efficace....dans du très, très bon Cronenberg.

Visionné hier: "In like Flint" (1967) avec James Coburn



Deuxième et dernier volet des aventures parodiques de ce personnage à la James Bond. Pas très rythmé mais bien sympa

Superbe pochette gatefold... le genre de choses qui font aimer les laserdiscs

Trés belle pochette effectivement

Bonsoir à tous,

là je suis encore sous le choc -une fois n'est pas coutume- je viens de terminer de visionner sans doute le film le plus étrange (ce qui n'est pas peu dire le conçernant, la normalité n'ayant guère cours chez ce réalisateur !) de Mister/Master Dario Argento, à savoir PHENOMENA

Son oeuvre la plus apaisée comme la plus apaisante... Visionné pour la première fois à l'âge de 12 ans (j'avais alors de mauvaises fréquentations)

D'un point de vue de l'image et du son, c'est du ROAN GROUP : uncut, widescreen, uncensored, ac3, audio commentary

Une pure merveille à laquelle il n'est rien à reprocher, tout à féliciter.

Redécouvrir ce film dans de telles conditions, je le prends sincèrement comme un privilège.

A plus.

Petit remerciement au passage à Diamond Dog pour l'évocation de ce film avec le grand James dont je n'avais jamais entendu parler... Ayant toujours eu la plus grande admiration pour cet acteur (à cause de ses collaborations avec Peckinpah bien sûr), je vais m'empresser de me colleter aux aventures de ce Flint là qui m'a l'air de très bonne augure

Ah ! Phenomena... un des mes Argento préférés également, atypique avec ses décors verdoyants des montagnes suisses... décors que curieusement Argento reprend quasiment à l'identique dans la dernière séquence de "Opera", son film suivant.

Concernant Flint il y a donc deux films "Our man Flint" et "In like Flint", édités séparément aux US, je crois qu'il y a un pressage japonais regroupant les deux. Ne t'attends pas à de grands films, ce sont des divertissements sympathiques, ou l'on retrouve James Coburn dans des situations parfois surréalistes... il s'agit sans doute d'une grosse influence de la série des "Austin Powers" (dans Austin Powers 2, je crois que le héros dit même que "In like Flint" est son film préféré )

hahaha :):):):) enfin je l'ai recu ^^
visionner hier soir Man bites dog " c'est arriver pres de chez vous"

j'adore sa facon d'economiser une balle quand il pete le coeur d'une de celle qui me coute sur ma fiche de paye lol
piste vf sous titres us

Et encore un classique...

Une curiosité qui se révèlera bien plus que cela pour tout amateur de western qui se respecte : le premier film de John Wayne en tant qu'acteur et producteur

ANGEL AND THE BADMAN réalisé par James Edward Grant en 1947, format 1.33, édition du 45e anniversaire, Included a reproduction of the original theatrical lobby card, rien à redire au son ou à l'image, pour un film de cette époque c'est même plutôt remarquable...

Une petite critique de ma part (extrait d'une sorte de journal de bord cinéphilique que je tiens depuis 6 ans maintenant- de tous les films que je regarde, de 45 à 60 par mois...) qui intéressera peut-être certains, les autres passeront leur chemin

Au-delà du fait de découvrir le premier film de John Wayne en tant qu’acteur et producteur, il y a également le plaisir d’assister à un western digne de ce nom, inédit de surcroît, classique sur le fond comme sur la forme (comment l’envisager autrement, n’oublions pas que nous sommes en 1947) plein d’allant et d’entrain, empreint de romantisme et d'humour, où le grand acteur déjà égal à lui-même s’impose autant qu’il en impose avec le naturel et la décontraction qui le caractérisent ; la mise en scène (ces recours à la contre-plongée afin de valoriser ce qui est désigné : l’apparition de Gail Russel à John Wayne, la stature du père comme véritable figure biblique) alternant avec tact et brio les séquences bucoliques et chaleureuses (promenades, repas, vie en communauté auprès des Quakers) à souhait avec d’autres plus incontournables (une entraînante bagarre de saloon, de fulgurantes poursuites de cavaliers, un duel final en pleine rue)… Bref, un western soigné et abouti, synonyme d’un bon moment de détente.

il y a aussi cette version

Hier soir, j' ai reflashé sur Rosanna Arquette dans une très belle histoire :

En ce moment, je redécouvre avec joie quelques pépites de la fameuse Hammer dont celle ci, particulièrement soignée :

Le baiser du vampire, Don Sharp, 1962, format respecté, Encore Edition, double feature (avec Nightmare)

Quel cachet, quelle atmosphère, quel charme...

Pour un film de près de 50 ans la copie est sublime

Salut à tous,

je ne comprends pas que ces 2 rubriques (vision des PAL et NTSC) là ne soient pas en permanence en haut de la liste

Qu'est-ce que cela veut dire, que tous les collectionneurs et autres amateurs qui se donnent rendez-vous ici même amassent des titres sans les regarder

Je plaisante...

Pour ma part, ce soir, une découverte :

Si jusque là je n’avais jamais particulièrement apprécié l’œuvre de Robert Altman en tant que telle, cette découverte là se révèlera définitivement autant que sincèrement réjouissante ; en effet, cette très libre adaptation du classique de Raymond Chandler bénéficie de nombreux atouts qui en font un voyage qui ne se refuse pas :

- De la transposition au début des années 70 (le réalisateur en saisit l’état d’esprit comme l’atmosphère avec une justesse, un naturel, une ironie, un tact rares)

- De l’interprêtation au diapason d’un impeccable Elliot Gould qui promène sa nonchalance et son flegme avec une élégance confondante (sans oublier la prestation du grand Sterling Hayden qui apporte à son personnage, sorte d’Ernest Hemingway au bout du rouleau autant qu’à bout de souffle, une vigueur et une stature exceptionnelle)

- D’un scénario, labyrinthique et entêtante à souhait, très habile à brouiller les cartes et à embrouiller les pistes

- D’un cadre idyllique à travers un Los Angeles de rêve qui n’est jamais loin du cauchemar, du paradis qui n’est jamais loin de l’enfer (maisons sur pilotis, appartements insolites, terrasses aux palmiers luxuriants, haciendas avec vue sur la mer, etc…)

- D’une partition on ne peut plus inspirée et jazzy, planante et mélancolique, signé John Williams

Bref, on émerge de cette séance de cinéma là (accentuée par sa conclusion festive/noire allant à l’encontre de ce qui s’était fait jusqu’alors) le cœur léger, reconnaissant, enjoué, un peu comme si on avait véritablement passer un moment sous le soleil et la lune de Californie en compagnie de ce chic type qu’est ce Philip Marlow qui véritablement gagnait à être connu et reconnu !

Pour ceux que cela tenterait, Bobozes en a plusieurs exemplaires, soit 4 euros le titre (sans oublier les frais de port... )

Pour moi c'est une soirée placée sous le signe de la chevalerie avec le seul et unique Robin des bois "errol flynn "

Et bien ce soir 2 films français en NTSC

Couleurs moyennes pour le premier
Image franchement mauvaise pour le second
Ce Spirit of death , Histoires Extraordinaires est un film en 3 squetchs dont le dernier de Fellini
J'ai regardé seulement ce troisième volet car en lisant une revue automobiles de luxe je suis tombé sur un article indiquant que la Ferrari du film était un proto jamais fabriqué jusqu'à cette année où un milliardaire a voulu la faire fabriquer chez Ferrari , ce qui est fait , et en fait une voiture unique
l'Article ne donne pas le prix de l'engin
Si il en a que ça intéresse je pourrais faire des photos comparatives (film et revue)