Laserdisc Plaza

Ils sont flippant

Carpenter c'est Carpenter et avec cette version il tape dans le mille ...magnifiques effets spéciaux....magifiques basses fréquences....et ces images ....tout au moins dans cette version !

Moi j'avais été super déçue par cette version qui' s'attardait trop sur les enfants.

Le format de la version 60 (à peine plus d'une heure) est parfait. Beaucoup d'interrogations au début. Personne ne comprend et ça dure longtemps. Ensuite les naissances, et les doutes des mères (y compris le désespoir pour l'une d'entre elles qui n'a pas "fauté"), et la réaction des adultes (finalement faut il accepter?). Le maitre d'école et la scène finale sont cultissimes pour moi.

Bon pour les effets spéciaux, j'avoue que c'est limité (juste les yeux qui brillent bizarrement...) mais ça suffit pour flipper!

Et y'en a que pour les femmes et les enfants dans ce film ... ......les hommes sont ignorés , méprisés et sont relégués au placard ....BOOOOUUUUUHHHH !

STAG66 a écrit :Et y'en a que pour les femmes et les enfants dans ce film ... ......les hommes sont ignorés , méprisés et sont relégués au placard ....BOOOOUUUUUHHHH !

mouhaha sa leurs fait du bien parfois !!! gnark gnark gnark

papynard a écrit :Ce soir c'est toute mon enfance qui est mis à l'honneur avec ce film de corsaire ,de boucanier , de forban ,de flibustier en un mot de pirate :The SeaHawk "L'aigle des mer in french" ,cela me fait tendrement penser au film en VO de deuxième partie de la dernière séance juste aprés le soir 3 et le Tex Avery .

Mr Eddy pourrait nous dire que c'est un film de de la Warner qui date de 1940 nommé pour 4 oscars ,c'est un film réalisé par Michael Curtiz à qui l'on doit entre autre :Les Aventures de Robin des Bois et Capitaine Blood avec le flamboyant Errol Flynn mais pour ma pars je rajouterai que c'est un Laserdisc d'une belle édition la "restored uncut version" en noir et blanc ,pour le son il y a une piste analogique et une numérique ,un trailer mais pas de close caption ,pour finir pour moi c'est toujours un pur plaisir de revoir ce film .

... Salut papynard (et les autres) !

A la lecture de ta critique mais aussi et surtout en raison du film choisi, je me devais de me manifester...

Car, enfin, le Errol Flynn en question aura également fait rêver l'enfant que j'étais lorsque ahuri je découvrais son Robin des bois ...

Encore aujourd'hui, à chaque vision d'un de ses films, c'est le divertissement assuré : quel charme, quelle décontraction, quelle allure, quel naturel

D'autant qu'il a tourné avec les plus grands !

D'ailleurs cet après-midi je regardais Capitaine Blood (1935) là encore de Curtiz : la suffisance, l'air narquois et moqueur, l'arrogance avec laquelle Flynn répond au gouverneur qui lui dit qu'il ment : "Vraiment !" en dit long sur son mépris de l'autorité et son indifférence à la menace : on lui en est d'autant reconnaissant !

Ta pochette est vraiment terrible en tout cas, merci de nous avoir fait partager ce coup de coeur qui tu l'auras compris fait également partie des miens

Sinon, qu'offre la version Uncut par rapport à la version standard, notamment celle exploitée dans le coffret ci-dessous ?

PS : le second coffret (zone 1 mais avec sous-titres français) reprend des fims moins connus de lui, plutôt films de guerre mais tous de qualité avec mention spéciale à SABOTEURS SANS GLOIRE (1944) de Howard Hawks où on retrouve l'acteur fort à l'aise dans un rôle plus ambigü et tourmenté que ceux auxquels il nous avait habitués jusqu'ici

Bref, si tu n'as pas ce coffret en ta possession, tu sais ce qu'il te reste à demander à ton entourage pour ce qui est des cadeaux du jour de l'an

En passant, un conseil de lecture également (voir la 3e photo) : son autobiographie -Mes 400 coups publié en 1977 en France chez Olivier Orban- qui est un pur régal tant il y fait preuve d'une sincérité et d'un humour désarmants ;

on pourra notamment y constater que sa vie fut elle aussi une aventure hors du commun(tout y est tellement incroyable que cela n'en paraît que plus vrai). A noter qu'elle est illustrée de plusieurs photos en noir et blanc assez rares.

Mon édition originale, chinée chez un bouquiniste parisien, est en très mauvais état : jauni, lu, annoté, relu...

Quant à la dernière photographie, je la poste par pur plaisir, vous l'apprécierez ou non (à vrai dire de cela je me fiche), il s'agit d'une photographie que je trouve vraiment chouette et terrible, une photographie dont j'avais fait faire un tirage encadré en 50x70 cm en cadeau pour mes parents qui est d'ailleurs toujours fixé au mur de la pièce qui leur sert de home cinema (enfin c'est un bien grand mot ; c'est là que mon père conservait toutes ses revues et photographies de cinéma accumulées au cours de son existence) ; car j'ai en effet eu la chance de naître dans une famille de cinéphiles

Encore une fois j'ai été plus ou moins long, plus ou moins hors sujet, vous m'en excuserez par avance (en même temps, j'avais du retard à rattraper !)

Ah oui, et puis, bonnes fêtes

Merci beaucoup pour ce partage de vos passions Mr Papynard et Mr Manfred

Je savais bien que tu aimerais amis manfred ,pour la version Uncut elle comporte un trailer et c'est apparemment une version restaurée ,je ne connaissait pas le coffret zone 1 je vais voir ou me le dégoter .

Ce soir retour en enfance pour moi avec ce film dont j'avais de très vagues souvenirs visuels (et pour cause...) et surtout qui m'avait fait carrément flipper à l'époque.

C'est quand même du Michael Crichton, et l'idée est un prémice de terminator et Total Recall réunis... Franchement c'est pas mal même avec l'âge (pas le mien! ). Et évidemment Yul Bruyner est là pour nous faire peur (j'adoooooore!)

Je parlais de

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Je n'ai pas vu celui-là...

soline a écrit :Ce soir retour en enfance pour moi avec ce film dont j'avais de très vagues souvenirs visuels (et pour cause...) et surtout qui m'avait fait carrément flipper à l'époque.

02070.jpg

J'adore ce film "Mondwest" pour l'europe, je trouve Yul Bruner impressionnant de froideur :pouce:une très belle édition .

Mais qu'est-ce que c'est que ce b..

Je rattrape en effet ce post là avant qu'il ne tombe défintivement dans les oubliettes...

Alors je me doute bien qu'à chaque fois qu'un membre visionne un de ses titres, il ne va pas se précipiter ici même pour nous faire part de ses impressions

Je m'en doute mais je le regrette car j'ai parfois l'impression -détrompez-moi- que pour certains les LD ne sont bons qu'à être rangés dans des étagères ou encadrés au mur

Une collection doit vivre, s'exposer, s'exprimer si je puis dire !

REVIENS PARMI NOUS LE CH'TI

Un des aspects (avec entre autres les derniers achats de tout un chacun) qui m'avait le plus attiré et inspiré sur Laserdisc Plaza tenait justement à cet échange à propos des films, documentaires, musicaux ou dessins animés regardés afin de faire partager nos points de vue, impressions, anecdotes sur tel ou tel titre, etc...

Manque de temps (hum hum, au lieu de traîner devant la TV ou sur Youporn ou Cdiscount -Soline tu n'es pas visée et as au fait d'ailleurs bien de la chance de posséder cette édition là de Mondwest- venez plutôt ici même vous exprimer) ou manque d'envie (là je ne peux rien faire pour vous) ?

Ceci étant dit, ne nous égarons pas pour autant.

Car ici même, ce soir, messieurs mesdames, il va être question de 7e art avec un grand A.

Du cinéma qui transporte, du cinéma qui éblouit, du cinéma qui émeut

Du cinéma en même temps sincère, cynique, tragique et lyrique qui vous submerge à chaque vision

Du cinéma virtuose, admirable, grandiose, fascinant d'un styliste alors au somment de son art (il l'était depuis quelques années, il continuea de l'être encore quelque temps), j'ai nommé le grand BRIAN DE PALMA

Si le cinéma est avant tout une question de point de vue, alors Mr De Palma peut être placé tout en haut de la colline !

Si les apparences sont souvent trompeuses (vraiment ?) alors chez lui elles prennent des proportions vertigineuses

BOW OUT donc (qui n'est jamais loin du blow job, et pour cause ), véritable déclaration d'amour au cinéma avec tout ce que cela implique de manipulation, d'apparence, de faux-semblant, d'illusion comme de désillusion


Comme souvent, comme toujours, ici le fond est indissoçiable de la forme, le réalisateur faisant preuve une nouvelle fois d'un talent inouï en matière de montage, de cadrage, de découpage ainsi que de gestion de l'espace que la partition du grand PINO DONAGGIO (une collaboration, une véritable osmose plutôt qui fait des étincelles) achèvera de rendre mémorable

Rien à redire à cette édition, apparemment la seule au format respecté (et Dieu sait que c'est important ici) : pour un film de cette année là ce LASERDISC remplit parfaitement sa mission tant d'un point de vue de l'image que du son

Je crois que la mort de Nancy Allen à l'oeuvre ici (ce ciel féerique chargé de feux d'artifice tandis qu'elle pousse son dernier soupir) est une des morts les plus poignantes et les plus magnifiques que le cinéma nous ait jamais offert jusqu'ici (j'en avais les larmes aux yeux)

Comme toujours pour conclure, quelques photographies :

(sur ce, bonne nuit )

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Oui, ça c'est des posts qui font du bien!!!

Je ne pense pas avoir vu Blow out, mais là tu me fais aussi carrément envie...